Nous avons appris à douter des promesses et nous méfier des lendemains électoraux.
Nous savons aussi qu’il ne suffit pas d’un changement de gouvernement pour que les revendications syndicales soient examinées avec attention.
Il en est ainsi des dossiers retraite, salaire, précarité et emploi.
CGT, UNSA, Solidaires, CFDT et FSU ont décidé que ces sujets essentiels devaient être portés sur la place publique.
Mardi 23 mars doit être l’occasion pour les salariés, du privé comme du public, d’affirmer que d’autres orientations sont nécessaires, justes et possibles
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