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Actunet du vendredi 27 janvier 2023

vendredi 27 janvier 2023

Actunet du vendredi 27 janvier 2023

- Mobilisation : retraite aux flambeaux ce soir et manifestation le 31 !
- En savoir plus : infos et webinaire
- Comptage des grévistes : quand le ministère pratique la malhonnêteté intellectuelle
- Revalorisation : trop peu et trop peu de monde
- Pétition AESH





Mobilisation : retraite aux flambeaux et manifestation le 31 !

Après la réussite du 19 janvier, on continue à se mobiliser !
9 travailleurs sur 10 sont opposés à cette réforme et ne veulent pas d’une retraite à 64 ans, voire à 67 ans pour pouvoir partir sans décôte. Toutes les organisations syndicales sont opposées à ce projet. Pour nos retraites, pour celles de nos enfants et de nos élèves, soyons nombreuses et nombreux à nous mobiliser !

Ce soir vendredi 27 janvier rendez-vous à 18h30 Quai des Marronniers à Auch pour une retraite aux flambeaux.

Mardi 31 janvier toutes et tous à la manifestation à Auch à 10h30 allées Lagarrasic.

Il est encore temps de déclarer son intention d’être gréviste (jusqu’à samedi minuit).
Déclaration d’intention mode d’emploi

Lire ici l’appel de la FSU.

Renseignez le compteur de la mobilisation ICI

Plus de 700 000 personnes ont déjà signé la pétition. Et vous ? Signez et partagez : https://www.change.org/p/retraites-non-%C3%A0-cette-r%C3%A9forme-injuste-et-brutale-reformesdesretraites





En savoir plus : infos et webinaire
 
Vous ne vous êtes pas encore fait votre avis ? Réforme des retraites : décryptage ici

Le 30 janvier un webinaire avec Mickaël Zemmour économiste et Benoît Teste secrétaire général de la FSU. Analyse de la réforme et alternatives seront au programme : Infos et inscriptions ICI





Comptage des grévistes : quand le ministère pratique la malhonnêteté intellectuelle

Sans surprise, le 19 janvier, le ministère de l’Education Nationale affichait un taux de gréviste plus bas que celui que nous avions estimé, d’après les remontées des écoles. Pour Laurent Frajerman, chercheur associé au Cerlis, depuis 2010, le gouvernement a mis en place un système pour minorer les taux de grévistes. En effet, le calcul du ministère se base sur le nombre théorique de personnels, absents compris. Dans le second degré,le logiciel Mosart est paramétré pour ne compter comme gréviste que ceux qui ont cours entre 8h et 9 h.En revanche, tous les personnels qui font grève, même en ayant cours après 9 h, ont droit à une retenue sur salaire.
Lire l’entretien sur le site du café pédagogique.

 



Revalorisation : trop peu et trop peu de monde
 
Le mardi 24 janvier, les organisations syndicales ont été reçues par le ministère qui a présenté son plan de revalorisation et ont eu la confirmation que la promesse d’Emmanuel Macron était une tromperie : il n’y aura pas une augmentation de 10 % pour tous les personnels sans contreparties. Le ministère fait le choix de répartir la pénurie. Dans une des hypothèses, seul-es les professeur-es ayant jusqu’à 26 ans d’ancienneté seraient concerné-es par les mesures salariales. Les autres n’auraient rien !
De plus, il s’agirait d’indemnités et non d’une revalorisation de la grille indiciaire (comprenez que ça ne sera pas pris en compte dans le calcul des pensions de retraite).
Dans un premier scénario, à partir de 26 ans d’ancienneté il n’y aurait aucune revalorisation.
Pour les stagiaires, le gain varierait entre 82 et 164 euros net mensuels – selon qu’ils soient à temps complet ou en demi-service d’enseignement. La première année d’exercice, il y aurait une prime de 153 euros nets mensuels.Ensuite, il s’agirait de 242 euros à 5 ans d’ancienneté, de 292€ à 10 ans, de 185€ à 15 ans, et à 20 ans, selon que l’agent est à la classe normale ou à la hors classe, le gain est de 64 à 85 euros.
Un deuxième scenario proposerait une revalorisation concernant tous les enseignant.es, avec des augmentations moins importantes et décroissant jusqu’au 10ème échelon, où l’augmentation ne serait que de 36 euros.

La prochaine réunion, le 15 février, portera sur la partie "pacte", c’est à dire une revalorisation liée à des missions, sans qu’on sache pour l’instant s’il s’agit d’une des nombreuses missions déjà effectuées mais non reconnues, ou si l’on demandera aux enseignant.es de conduire le bus, de surveiller la cantine ou de vendre des chocolatines !
Salaires gelés, conditions de travail dégradées, missions supplémentaires imposées, dégradation inédite des droits à retraites : nos professions sont à bout, des réponses aux revendications s’imposent.

Lire l’analyse de la FSU.





Revalorisation : trop peu et trop peu de monde

Le mardi 24 janvier, les organisations syndicales ont été reçues par le ministère qui a présenté son plan de revalorisation et ont eu la confirmation que la promesse d’Emmanuel Macron était une tromperie : il n’y aura pas une augmentation de 10 % pour tous les personnels sans contreparties. Le ministère fait le choix de répartir la pénurie. Dans une des hypothèses, seul-es les professeur-es ayant jusqu’à 26 ans d’ancienneté seraient concerné-es par les mesures salariales. Les autres n’auraient rien !
De plus, il s’agirait d’indemnités et non d’une revalorisation de la grille indiciaire (comprenez que ça ne sera pas pris en compte dans le calcul des pensions de retraite).
Dans un premier scénario, à partir de 26 ans d’ancienneté il n’y aurait aucune revalorisation.
Pour les stagiaires, le gain varierait entre 82 et 164 euros net mensuels – selon qu’ils soient à temps complet ou en demi-service d’enseignement. La première année d’exercice, il y aurait une prime de 153 euros nets mensuels. Ensuite, il s’agirait de 242 euros à 5 ans d’ancienneté, de 292€ à 10 ans, de 185€ à 15 ans, et à 20 ans, selon que l’agent est à la classe normale ou à la hors classe, le gain est de 64 à 85 euros.
Un deuxième scenario proposerait une revalorisation concernant tous les enseignant.es, avec des augmentations moins importantes et décroissant jusqu’au 10ème échelon, où l’augmentation ne serait que de 36 euros.

La prochaine réunion, le 15 février, portera sur la partie "pacte", c’est à dire une revalorisation liée à des missions, sans qu’on sache pour l’instant s’il s’agit d’une des nombreuses missions déjà effectuées mais non reconnues, ou si l’on demandera aux enseignant.es de conduire le bus, de surveiller la cantine ou de vendre des chocolatines !
Salaires gelés, conditions de travail dégradées, missions supplémentaires imposées, dégradation inédite des droits à retraites : nos professions sont à bout, des réponses aux revendications s’imposent.

Lire l’analyse de la FSU.





Pétitions AESH

Une large intersyndicale, dont fait partie la FSU, demande pour les AESH la création d’un corps de la Fonction publique, une augmentation des salaires et l’abandon des PIAL.

Retrouver la pétition ici





Se syndiquer : une nécessité plus que jamais !

Premier syndicat dans les écoles, le SNUipp/FSU défend les valeurs de l’école et se bat pour la transformation de l’école avec les personnels pour la réussite de toutes et tous.
Se syndiquer pour renforcer le collectif en 2023 c’est ICI ou LA

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