Il est de bon ton aujourd’hui de critiquer les parents, les élu-es, les syndicats qui ne protesteraient pas assez face aux fermetures de classes ou d’écoles. Pas assez de manifestations, pas assez d’écharpes tricolores devant la préfecture, pas assez de pancartes et de banderoles. Et si tout simplement, le Gers bénéficiait d'une dotation de postes à la hauteur de ses besoins