Notre collègue de Nogaro a subi le calvaire pendant un an suite à la plainte de parents d’élèves, amplifiée sans aucun scrupule par La Dépêche.
Après une enquête trop longue, la procureure a décidé de ne donner aucune suite à l’accusation. Notre collègue peut respirer mais le mal est fait.
Le SNUipp avait souhaité que le DASEN soutienne publiquement l’enseignante dès la fin de la procédure : il l’a fait et nous l’en remercions au nom de toute la profession.
Redisons que cette affaire n’aurait pas pris cette dimension si La Dépêche, qui n’en était pas à son coup d’essai, avait agi avec discernement.